MONGI GHARIANI-TUNISIA

Etre obèse n’est pas une fatalité…Moi j’ai maigris à 60 ans, et aujourd’hui, je me sens comme un jeune homme
« Avec mes 99 kilos, je ne me sentais pas mal dans ma peau, mais le fait d’avoir des rondeurs qui commençaient à dépasser une certaine limite ( un ventre en forme de ballon de basket et un derrière en forme de ballon de rugby) me dérangeait un peu et commençait à m’inquiéter…

J’étais relativement gêné dans le choix de mes vêtements, car je ne trouvais pas facilement ma taille, et surtout gêné dans ma vie quotidienne et d’un point de vue physiologique. Ma santé s’en ressentait, je respirais mal, je m’essoufflais au moindre pas, le soir au lit je ronflais ce qui était désagréable pour ma femme, et à tout cela s’ajoutait une digestion difficile, des douleurs abominables et gastriques.

Pour me soulager de ces maux qui n’étaient en fait que des signales d’alarme que je me contentais d’ignorer, j’utilisais des tonnes de médicaments: du « débridat », du « malox » et autres merveilles.

C’est par une amie qui avait perdu énormément de poids que j’ai entendu parler de Sophie et de sa méthode qui développait une démarche pour chaque cas d’obésité.

Dès notre première rencontre, j’ai su que mon coach allait pouvoir m’aider, et que j’allais enfin réussir à me débarrasser de ce surpoids devenu gênant, que grâce à elle je pouvais enfin parier ces 18 kilos qu’il me fallait absolument perdre.

3 mois plus tard et avec 20 kilos évaporés, j’ai gagné mon paris.

Cette perte de poids m’a permis de redécouvrir un corps sain et équilibré, beaucoup plus jeune et tonique, plus de ballonnements, plus de gastrite, de constipation, plus de reflux, plus de ronflement, plus d’éssoufflement et surtout plus de fatigue liés à ces différents maux.

Mon médecin qui m’a demandé suite à ma perte de poids de refaire un bilan sanguin m’a annoncé épaté que j’avais rajeuni.

Je tiens aussi à signaler que plusieurs mois après ma stabilisation, je n’ai pas repris un seul gramme grâce à ma coach et que je me sens mieux que jamais. »